• Farandole de l’absurde (84)

     

     

    Petite chronique malveillante, malpolie, et de mauvaise foi… à l’usage de ceux qui ne le sont pas.

     

    Comme le lecteur bienveillant l’aura remarqué, ces rubriques sont sporadiques. Pour être tenu en temps réel de leur parution, n’hésitez pas à vous abonner, poil au nez.

     

     

     

    4/6/2017 France2, Laurent Luyat nous annonce un match extraordinaire entre Murray et Del Potro. Mais nous ne verrons que le match insipide entre Gasquet et Monfils. La pluie tombe. Pour tuer l’ennui Laurent Luyat nous annonce que nous reverrons… le match insipide entre Gasquet et Monfils…

     

    5/6/2017 France2, Laurent Luyat nous annonce un match extraordinaire entre Raonic et Carreno Busta. Mais nous ne verrons que le match insipide entre Mladenovich et Muguruza…

     

    5/6/2017 France2 : Marie Pierce, commentant le même match, nomme Christina Mladenovic « Kiki », kiki, nom familier pour « sexe féminin ». Bon ben c’est pas tout ça mais moi je vais me faire une partie de pénis en regardant kiki…

     

     

     

    Numéro Spécial Roland-Garros

     

    Chaque année, à cette époque, un petit village suisse résiste encore à l’envahisseur gaulois, à l'ouest du 16ième,  Paris.

    Afin d’expliquer cette bizarrerie, revenons sur quelques épisodes de cette édition 2017, pour regretter tout d’abord la disparition prématurée de Jo-Wilfried Tsonga, éliminé au premier tour du tournoi.

    Il est vrai que celui-ci, résident suisse que d’aucuns surnomment « Ricola », semblait singulièrement manquer d’entrainement, tout comme son compatriote et voisin helvète, Gaël Monfils, battu par Stan Wawrinka, un vrai petit suisse, lui.

    Il faut dire que les deux français avaient refusé de faire partie de l’équipe de France, ayant sans doute peur de dévisser en coupe Davis, l’un mettant en avant sa paternité, et l’autre ses ragnagnas. Donnons à Tsonga des excuses que Monfils n'a pas : père, gagner devient dur.

    Quant à Wawrinka, il a battu dans un match épique en demi-finale Murray dont le jeu n’était pas demeuré, et a ensuite perdu contre Nadal, dont il se dit qu’avec son chèque il s’achèterait une… Hispano-Suiza.

    Parlons un peu des filles.  Garcia, surnommée « le sergent », non pas à cause de son poids mais à cause de sa moustache, a bien plus brillé qu’Alizée Cornet à piston, dont il se dit qu’elle émigrerait en Angleterre pour s’appeler Cornet d’beef. Autant d’occasions pour notre ministre des sports, Laura Flaisselle (rien à voir avec le fromage blanc), de débiter des paroles convenues qui n’auront pas fait mouche. Dommage pour celle que l’on appelait « la guêpe ».

    Ostapenko, elle, aura perdu autant que gagné les points, pour, au final, gagner la finale et lever le poing. Que dire de cette Lettone qui détonne, qu’elle étonne du haut de ses vingt ans, elle dont le jeu fut un caviar, un caviar de la baltique, bien sûr !


  • Commentaires

    1
    Domi
    Lundi 12 Juin 2017 à 03:30

     bonne rubrique dans une domaine qui n'est pas ma tasse de thé...Nice

      • Lundi 12 Juin 2017 à 07:49

        Merci Dominique, c'est ça d'être sport !

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